Loin d’être utopique, le projet s’avère rentable, et ce avec quasiment aucune aide publique (à peine 5% d’après son co-fondateur). Cerise sur le gâteau, la gouvernance est collective par le biais d’une association regroupant les Darwiniens volontaires.
Un bel exemple qui prouve qu’il est possible de réaliser une opération immobilière fructueuse tout en servant l’intérêt général.
En bref, si nous habitions à Bordeaux, le Darwin Ecosystème serait notre QG!